mardi 21 juillet 2015

L'Iran, le pays champion du monde en rhinoplastie!

Partout à travers le monde les personnes succombent de plus en plus volontiers à la tentation de la chirurgie esthétique.

Dans ce sens, le cas de l’Iran est particulier puisque c’est la rhinoplastie plus particulièrement, une opération de chirurgie plastique dont le but est de redessiner les dimensions, à représenter l’opération la plus pratiquée.

Les iraniens raffolent ainsi de l’opération de remodelage d’un nez qui revêt le symbole de l’élégance et qui miroite la propre position sociale, même si des groupes contraires se mobilisent contre l’usage abusif du bistouri.

Quelles sont alors les raisons principales du succès de la chirurgie esthétique du nez dans ce pays ?

La rhinoplastie, un vrai phénomène social

Il suffit de se promener dans les rues de Téhéran, la capitale du pays, pour réaliser l’ampleur du phénomène de la rhinoplastie dans le pays.

Le succès de la rhinoplastie est tel que plusieurs patientes demandent même à se faire plâtrer le nez sans pour autant subir aucune opération de chirurgie du nez, uniquement pour pouvoir afficher aux yeux de tous la propre position sociale.

Même si des chiffres officiels n’ont pas été présentés, il est aujourd’hui estimé que le nombre de rhinoplasties effectués en Iran serait 7 fois plus grand que celui aux Etats-Unis.

Une des raisons principales de cet engouement seraient à lier avec le fait que les iraniennes, obligées de se couvrir la tête, n’auraient que le visage à afficher dont le nez occupe une position centrale et qui par conséquent devient critère principal de beauté physique.

Un symbole de richesse

Dans toutes les sociétés, l’aspect extérieur chez une personne, façonnée par le choix vestimentaire ou par les accessoires est un critère d’évaluation de la richesse. En Iran, la rhinoplastie qui vise à modifier la morphologie de la pyramide nasale est considérée comme un des signes les plus indicatifs de la position sociale d’une personne au sein de la société.

Certaines patientes n’hésitent pas, après leur sortie de la salle d’opération, à arborer fièrement le bandage nasal pour une période supérieure à celle requise par le chirurgien, pour simplement "frimer" le plus longtemps possible.

Mais même si auparavant uniquement les plus privilégiés pouvaient se permettre les frais d’une telle opération, celle-ci est de plus en plus accessible aux autres classes de la société et est même offerte comme cadeau surtout aux jeunes, notamment à l’occasion de la réussite dans le cursus scolaire ou universitaire.

Les féministes contre la chirurgie du nez

Face au grand succès et la grande popularité de cette intervention, un groupe de féministes, "les iraniennes de près", adoptent la tendance opposée en encourageant les jeunes iraniennes à résister à la tentation du remodelage du nez et à renouer avec les valeurs de la beauté naturelle.

Le groupe appelle à la non-soumission aux exigences de la société et veulent faire réfléchir les iraniennes sur les réelles motivations qui les poussent à avoir recours à la rhinoplastie, si celle-ci est justifiée par des complexes psychologiques liées à de réelles imperfections du nez ou si elle est uniquement envisagée sous la pression sociale.

jeudi 25 juin 2015

Le déclin démographique au Japon

Selon l’institut japonais de recherche sur la population, moins d’un tiers seulement des japonais sous les 20 ans a déjà eu un rapport physique. Nous sommes en présence d’une jeunesse qui, par choix ou pas, n’envisage plus la sexualité ou la vie de couple comme une priorité faisant partie intégrante de la vie, loin de là.

Mais ce rejet quasi-total de toute volonté de rapport avec le sexe opposé, qui a causé un déclin démographique au japon, est en réalité déclenché par des facteurs profondément enfuis dans la psychologie sociale nippone dont le fonctionnement n’est jamais évident aux premiers abords.

Le paradoxe de l’omniprésence de la sexualité au Japon

Le contraste entre médias et réalité des faits se creuse d’autant plus quand on voit les programmes télévisés japonais totalement décalés par rapport à ceux occidentaux, où des épreuves érotiques ou basés sur des jeux sexuels sont devenues complètement banalisés et diffusés quotidiennement au grand public.



Une production visuelle ou d’ailleurs l’image de la femme représente simplement la transposition des fantasmes masculins sur petit ou grand écran, une image idéale ou faussée d’une figure féminine idéale sur le plan moral et physique souvent bien lointaine de la réalité, incarnée par des icônes idolâtrées spécialement façonnées, des fois même à grands coups de chirurgie plastique, pour se conformer aux illusions des jeunes adolescents en manque de satisfactions sentimentales.

L’évolution des mœurs japonaises

La situation économique a joué un rôle fondamental dans la régression des rapports entre hommes et femmes au Japon. Il faut savoir que l’année 1990 signe ce qu’on appelle « l’éclatement de la bulle financière » du pays, ce qui par conséquence a amené beaucoup d’entreprises et de personnes japonaises à connaitre deux décennies particulièrement difficiles sur le plan économique.

Ce phénomène a conduit à deux résultats : d’une part nous avons une « émasculation économique » des hommes japonais qui ont perdu leur confiance en société, et d’une autre nous avons des femmes japonaises qui inversement se sont émancipées et ont conquis leur liberté, ne voulant plus être cantonnées à leur rôle traditionnel de femme au foyer.


Un impact direct sur la démographie

Ce phénomène aurait un impact beaucoup plus nocif sur la société japonaise qu’il n’y parait : en effet, le phénomène de l’abstention sexuelle est déjà en train de montrer concrètement ses résultats puisque la population a drastiquement chuté ces dernières années.

Ceci paraît logique vu que, selon plusieurs statistiques de l’état, presque la moitié des femmes japonaises âgées entre 18 et 35 ans ne sont pas mariées, et plus de 55% d’hommes du même âge se trouvent également dans une situation de célibat ; et si la tendance ne sera pas renversée, toujours selon les mêmes recherches sur la démographie, il est estimé que la population japonaise va diminuer d’environ 50% de sa population totale d’ici la fin de ce siècle.

mercredi 10 juin 2015

Le phénomène des "Instagirls"

La popularisation d’internet, en particulier chez les jeunes générations, a amené les personnalités du monde du spectacle à réviser entièrement leur façon de communiquer avec leur public.

Instagram est devenu par exemple l'un des nouveaux outils d’exposition dans le milieu du star system, et il en va de même pour le domaine de la mode qui a connu une métamorphose totale dans sa façon de promouvoir les propres mannequins

Ces derniers n’hésitant plus à sortir du cadre des défilés de mode pour offrir à son public des clichés prises dans la vie de tous les jours d'où l'apparition du phénomène des "Instagirls".

Origines de la tendance


Cette nouvelle génération de modèles, dont le succès s’est décuplé grâce à lors photos postées sur les réseaux sociaux,évoquent leur fierté d’appartenir à cette nouvelle catégorie de modèles sont le surnom « Instagirl » fait référence à leur recours du réseau Instagram et des autres réseaux sociaux afin de partager des moments de leur shooting mais aussi de leurs vies privées.

Succès facile ou pas, les médias et les grandes maisons de mode voient en ces nouvelles générations de modèles une façon moderne d’attirer un public toujours plus jeune, constitué majoritairement de filles voulant s’identifier à leur idoles et las de l’image de certains people qui jouent la carte du snobisme médiatique ou qui affichent un physique régulièrement métamorphosé en multipliant les opérations de chirurgies esthétiques pour grossir de la poitrine ou lifter le visage.


L’exemple le plus saisissant est celui de Kendal Jenner, 19 ans, célèbre dans le monde et en particulier aux Etats-Unis pour sa participation dans l’émission de télé réalité « L’incroyable Famille Kardashian ».

Son compte sur Instagram, où elle a pris l’habitude d’offrir à son public des photos prises à différents moments de la journée, avait depuis peu  atteint les 26 millions d’abonnés, ce qui lui a valu de s’être fait proposer des contrats de mannequinat par les plus grandes égéries comme Calvin Klein ou Chanel pour ne citer qu’eux.

Ces mannequins nouvelle génération se sont vus attribuer le titre de « Instagirls », terme lancé par le célèbre magazine Vogue qui s’est attardé sur ce phénomène lors du numéro de septembre 2014 où le magazine affichait en première page trois jeunes femmes symboles du mannequinat numérique, à savoir Cara Delevingne, Karlie Kloss et Joan Smalls, âgées respectivement de 22, 22et 26 ans.

Le jugement du phénomène des "Instagirls"


La renommée de ces jeunes stars, renforcée et consolidée par internet, s’explique par le fait que les réseaux sociaux confèrent aux mannequins une sensation d’accessibilité et d’authenticité auprès de leur public. Ce dernier a alors l’agréable impression de partager le quotidien des mannequins, et les distances s’accourcissent entre les deux côtés.



Mais les modèles de l’ancienne génération réagissent mal à ce phénomène d’ascension jugé comme étant « facile » de la part de mannequins de légende appartenant à une autre époque, à l’instar de la fameuse Naomi Campbell qui a ouvertement déclaré lors de l’émission « The Meredith Vieira Show » sur NBC, d’une certaine forme d’indignation face à ce succès trop démesuré à son goût,surtout dans un domaine aussi impitoyable que celui de la mode où elle, ainsi que ses collègues et icônes des années ’90, Cindy Crawford ou Claudia Schiffer, avaient dû se sacrifier et fournir des efforts intenses pour arriver à leur position.

jeudi 28 mai 2015

Zoom sur le Hikikomori au Japon

Hikikomori : voici le terme par lequel on désigne un phénomène qui touche les jeunes japonais qui à un moment donné décident de se cloîtrer dans leur chambre et de couper tout contact avec le monde extérieur pendant des mois.

Ce type de comportement chez les adolescents ou les jeunes adultes est un sujet extrêmement médiatisé au Japon mais qui frôle le tabou ayant un hikikomori à la maison tellement la honte et l’humiliation sont grandes.

Le désarroi des familles


Les parents essayent tant bien que mal de comprendre leur enfant qui refuse de sortir de sa chambre des mois ou des années durant. Ils sont conscients du fait que toute forme de dialogue est inutile, le hikkikmori étant extrêmement sensible et réfractaire à tout contact humain.Celui-ci justifie rarement sa décision à son environnement familial il n’a pas des amis auxquels se confier.

Des solutions variées sont envisagées afin de réinsérer petit à petit le jeune dans la vie quotidienne. Tandis que des parents n’hésitent pas à faire appel à des psychanalystes afin de proposer des séances de thérapies à domicile, d’autres optent pour la voie de la passivité en laissant le temps agir et en espérant que le hikikomori prenne lui-même une initiative et trouve son propre chemin dans la vie.


Si le hikikomori est une fille, ses complexes peuvent venir de son aspect extérieur trouvant son corps plein d’imperfections. Dans ce cas-là, les parents sont même prêts à offrir une opération de chirurgie esthétique en espérant faire regagner à leur progéniture une meilleure estime de soi.

Une forme de révolte


Si du point de vue occidental, cette pathologie peut être comparée à une forme d’anxiété sociale, au Japon elle prend des dimensions plus grandes : le hikikomori ressent un grand soulagement à éviter d’avoir une vie sociale régie par des codes très strictes au pays du soleil levant.


Passant ses journées à surfer sur internet, lire des mangas (bandes dessinées japonaises) ou jouer aux jeux-vidéos sans n’avoir aucune préoccupation pour son avenir scolaire et professionnel, le hikikomori 

Ce phénomène, localisé principalement au Japon dans les années 90, est entrain de gagner de plus en plus les pays industrialisés comme l’Australie, la France et l’Italie, surtout avec la montée en puissance des nouvelles technologies qui permettent de se reclure dans un monde virtuel.

C’est alors principalement de l’essor des parents de cadrer leurs enfants dès leur plus jeune âge et de changer leur attitude permissive en comportement plus ferme sur les responsabilités et les devoirs dans la vie de l’adolescent.

vendredi 15 mai 2015

Tatouage des yeux de plus en plus populaire mais gravement dangereuse!

Après la lubie de l’année dernière qui consiste à changer la couleur des yeux, une nouvelle tendance venant des États-Unis entrain à se développer : le tatouage des yeux !

Cette pratique très étonnante, se base sur le tatouage du globe oculaire visant à colorer le blanc des yeux en noir, bleu, rouge, …Une technique visiblement indolore puisque le candidat doit subir plusieurs séances d’injections pour colorer tout l’œil.

Cette pratique condamnée en Angleterre et en Amérique… gagne chaque jour de nouveaux convertis grâce au procès de Jason Barnum, un assassin à l'œil complètement noir, en Alaska (États-Unis) qui a mis en lumière ce phénomène.

Une technique qui a été éprouvée depuis plus de 10 ans par Luna Cobra, un tatoueur américain. Ayant pour but de reproduire le bleu des yeux des personnes du film culte de science-fiction Dune.

«Un vieil ami avait phothoshoppé une photo de ses yeux pour qu’ils ressemblent à ceux de Dune. Je lui ai dit "je crois que je peux te faire ça en vrai"», indique-t-il à la BBC.



lundi 6 avril 2015

Sport et régime pour lutter contre l'obésité

Le surpoids ou l’obésité, est un handicapant dans la vie personnelle et professionnelle d’une personne.

Généralement, d’autres maladies s’accompagnent et viennent apparaître à cause d'une augmentation du taux de cholestérol dans le sang comme le diabète, les maladies cardiovasculaires… Et sans oublier les difficultés à bouger dans d’autres cas.

Alors que de nombreux patients cèdent simplement à la chirurgie esthétique de la silhouette par liposuccion pour se débarrasser des excédents de graisse.

Mais selon l’avis de docteur « Robert Huizenga », le faite de pratiquer 4 heures de sport par jour donne les mêmes résultats !


lundi 9 février 2015

Un visage féminin parfait, à quoi ressemble-t-il?

Escentual, la marque cosmétique britannique vient de mener une étude relayée par le magazine Grazia UK pour décrire les critères de beauté ou de la perfection d’un visage féminin.

Femmes et hommes sont invités pour choisir entre certaines célébrités qui sont regardées très belles : Miranda Kerr, Kate Middleton, Angelina Jolie, Megan Fox, Scarlett Johansson, Cara Delevingne et bien d'autres.


lundi 19 janvier 2015

Les nouveaux stars des podiums: les mannequins atypiques!

Fini l’époque des « supermodèles » où Cindy Crawford, Naomi Campbell et Linda Evangelista étaient les mannequins les plus souhaités.

Aujourd’hui,

les mannequins atypiques envahissent les podiums et les campagnes. Avec des dents écartées, tatouage, strabisme, … Plusieurs agences se sont spécialisées dans le domaine des mannequins laids.

C’est une nouvelle vogue de Super-Modèles ou un buzz .